Voici un an environ, mon boucher -un très bon boucher comme autrefois, qui vend de la viande délicieuse comme on n'en trouve que chez le... boucher- m'a vendu son vélo.
J'en ai parlé ici : http://montour1959lasuite.blogspot.fr/2012/11/encore-un-nouveau-velo.html .
Et puis j'ai fait quelques sorties sur ce vélo des années 70. Onze exactement, parcourant plus de 700 kilomètres, quand même, sur ce beau vélo. Mais, entre les boyaux qui se décollaient, de vieux boyaux d'époque, pensez-vous !... La roue-libre "éclatée" au début de l'année 2013, trop costaud le mec !... Les cocotes de frein en piteux état, oui, surtout ces vieilles cocottes blanches !... je l'avais un peu laissé de côté mon vélo H.
Alors quand, voici quelques semaines, à la bourse aux vélos de Puiseaux, j'ai trouvé une belle paire de poignées de freins CAMPA des années 70-80, pour 20€ seulement... je n'ai pas hésité longtemps. Trouver des cocottes Campa d'avant l'époque des "Ergo-power" est quasiment impossible (ou alors, j'ai mal cherché...).
"Je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans..." (Air connu)
Et puis mercredi dernier, j'ai enlevé la vieille guidoline,
...démonté câbles et gaines de freins pour rajeunir un peu tout ça !
J'ai également acheté deux boyaux "Vittoria", parce que, tant qu'à faire, autant rouler sur des roues à boyaux, comme quand j'étais... coureur !
L'odeur de la colle Pastali est toujours la même...
C'est toujours aussi difficile de monter le boyaux sur la jante, et bien sûr, je mets de la colle partout !
Mais quand tu gonfles tes boyaux à fond... il y a un petit pincement au coeur : Remember...
Hélas, mon père ne sera plus là pour réparer ces fichus boyaux quand ils auront crevé. Un sacré boulot que mon papa faisait avec plaisir.
J'ai bien entendu acheter aussi de la tresse Vélox pour habiller le cintre JUBA.
C'est vachement beau quand même !
Et puis, j'ai monté les câbles dans leurs gaines noires. J'ai réglé les freins. J'ai même fait quelques retouches de peinture !
ET samedi après-midi, j'ai enfourché la machine pour une petite sortie avec Lolo : un régal !
Et puis j'ai fait quelques sorties sur ce vélo des années 70. Onze exactement, parcourant plus de 700 kilomètres, quand même, sur ce beau vélo. Mais, entre les boyaux qui se décollaient, de vieux boyaux d'époque, pensez-vous !... La roue-libre "éclatée" au début de l'année 2013, trop costaud le mec !... Les cocotes de frein en piteux état, oui, surtout ces vieilles cocottes blanches !... je l'avais un peu laissé de côté mon vélo H.
Alors quand, voici quelques semaines, à la bourse aux vélos de Puiseaux, j'ai trouvé une belle paire de poignées de freins CAMPA des années 70-80, pour 20€ seulement... je n'ai pas hésité longtemps. Trouver des cocottes Campa d'avant l'époque des "Ergo-power" est quasiment impossible (ou alors, j'ai mal cherché...).
"Je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans..." (Air connu)
Et puis mercredi dernier, j'ai enlevé la vieille guidoline,
...démonté câbles et gaines de freins pour rajeunir un peu tout ça !
J'ai également acheté deux boyaux "Vittoria", parce que, tant qu'à faire, autant rouler sur des roues à boyaux, comme quand j'étais... coureur !
L'odeur de la colle Pastali est toujours la même...
C'est toujours aussi difficile de monter le boyaux sur la jante, et bien sûr, je mets de la colle partout !
Mais quand tu gonfles tes boyaux à fond... il y a un petit pincement au coeur : Remember...
Hélas, mon père ne sera plus là pour réparer ces fichus boyaux quand ils auront crevé. Un sacré boulot que mon papa faisait avec plaisir.
J'ai bien entendu acheter aussi de la tresse Vélox pour habiller le cintre JUBA.
C'est vachement beau quand même !
Et puis, j'ai monté les câbles dans leurs gaines noires. J'ai réglé les freins. J'ai même fait quelques retouches de peinture !
ET samedi après-midi, j'ai enfourché la machine pour une petite sortie avec Lolo : un régal !
J'ai même réussi un petit reportage sens dessus dessous !
Sur les routes frileuses de la Brie, il n'a pas fini de rouler mon vélo H.
(Rappelons que je l'appelle ainsi car il appartint, avant d'être le vélo de mon boucher, à Henri Heintz, coureur cycliste professionnel rémois du début des années 70 et chauffeur pendant une vingtaine d'années du Docteur Porte durant le Tour de France.)
J'en connais un qui un qui a un p'tit vélo dans la tête. Attends, j'ai lu quoi, sur un autre blog? " La créativité, c'est l'intelligence qui s'amuse", de M Einstein. Alors, retaper un vieux brassens, ce n'est peut-être pas de la créativité, mais en faire des photos la tête en bas, sans doute que si!!!
RépondreSupprimerVoila une nouvelle monture qui nous promet de belles balades dans ton sac à dos (ben oui, y'a pas de porte-bagages)!!!
A bientôt!