Après quelques jours de vacances en Bretagne, me voici de retour en Seine et Marne...
Départ un peu précipité pour assister aux obsèques de mon ancien voisin Yvonnick et puis ensuite...
...un voyage (un peu pluvieux...) de 5 jours vers le Mont Saint Michel...
...une visite à Saint Cado où je n'étais pas revenu depuis 4 ans...
...quelques jours de vacances à La Trinité sur Mer chez Marie-Thé et Bernard...
... et un petit tour au Festival Interceltique de Lorient où nous avons assisté à un concert formidable des Chieftains.
Des vacances bien remplies ! Je raconterai tout cela dans les jours qui viennent.
Et aujourd'hui, nous avons repris le vélo pour une petite sortie de 51 kilomètres et nous ne fûmes pas dépaysés car après la pluie bretonne, nous avons retrouvé la pluie briarde ! Pour une petite averse heureusement.
Dans la vallée du Grand Morin, je prends en photo cette installation énigmatique : à quoi correspond ce numéro de téléphone ?
et je continue ma collection de panneaux de signalisation.
Trois d'un coup : la cueillette a été bonne !
Ah la Bretagne !
RépondreSupprimerLa Bretagne est une terre de cyclisme, comme le PS est une terre de silence. C'est le Landerneau du cyclisme ! la réputation de la Bretagne dans le monde du cyclisme n’est plus à faire. Il y a la ville de Plouay (Morbihan), capitale mondiale du vélo, les voies vertes, de la même couleur que leur marée, et pour amortir un équipement pluie, de gros nuages noirs, de la couleur de leur autre marée. Quoi qu'il en soit, les cyclistes bretons qui n'ont pas beaucoup de kilomètres au compteur sont des cyclistes qui ne roulent pas sous la pluie. Ce sont des poules mouillées. Les autres sont mouillés tout court. Et ce n'est pas en crachant sur une poule mouillée qu'on obtient une omelette baveuse !
L'avantage de la météo bretonne, c'est que lorsque la pluie devient chaude, le cycliste breton sait que l'été est enfin là.
marco
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