A l'heure actuelle, je dois être sur la route de Brest, il y a deux ans, j'y étais déjà...
Septième étape, Argentan Rennes, 170 km: Un petit air de Paris Brest Paris !
Après un petit déj' pantagruélique, l'hôtel des voyageurs à Argentan est une excellente adresse... je repars sur les routes de l'Orne puis de la Mayenne avant d'arriver en Bretagne. Etape tranquille à travers de jolis paysages de bocage parsemés de jolies demeures.
Le casino de Bagnoles de l'Orne a à peine changé.
A partir de Lassay les Châteaux, j'emprunte l'itinéraire de Paris Brest Paris, organisé tous les 4 ans par l'Audax Club Parisien, et c'est avec plaisir que je retrouve ces routes tranquilles et de grande qualité.
Et je me souviens qu'en 2007, j'ai traversé ce village d'Ambrières sous la pluie à l'aller comme au retour alors qu'aujourd'hui le temps est... correct, du vent de face mais pas de pluie.
Comme les coureurs de 1959, je traverse ce village mayennais...
qui a peu changé lui aussi.
Je dors en Bretagne ce soir (chanson de Gilles Servat)
Fougères où je quitte l'itinéraire de PBP.
Et les clochers bretons se succèdent avant d'arriver à Rennes (Cesson Sévigné plus exactement) par de petites routes paisibles.
Rennes où Grazyck remporta le sprint du peloton sur le vélodrome qui n'existe plus, je crois. Cazala était toujours maillot jaune.
Ce fut sans aucun doute mon étape la plus tranquille, il y avait peu de voitures et de camions: OUF!
Et en plus, Laurence qui m'a rejoint m'a offert un repas gastronomique dans un restaurant chicos qui, malgré un premier abord négatif car un peu guindé, tint toutes ses promesses ! Délicieux et surprenant.
Le casino de Bagnoles de l'Orne a à peine changé.
A partir de Lassay les Châteaux, j'emprunte l'itinéraire de Paris Brest Paris, organisé tous les 4 ans par l'Audax Club Parisien, et c'est avec plaisir que je retrouve ces routes tranquilles et de grande qualité.
Et je me souviens qu'en 2007, j'ai traversé ce village d'Ambrières sous la pluie à l'aller comme au retour alors qu'aujourd'hui le temps est... correct, du vent de face mais pas de pluie.
Comme les coureurs de 1959, je traverse ce village mayennais...
qui a peu changé lui aussi.
Je dors en Bretagne ce soir (chanson de Gilles Servat)
Fougères où je quitte l'itinéraire de PBP.
Et les clochers bretons se succèdent avant d'arriver à Rennes (Cesson Sévigné plus exactement) par de petites routes paisibles.
Rennes où Grazyck remporta le sprint du peloton sur le vélodrome qui n'existe plus, je crois. Cazala était toujours maillot jaune.
Ce fut sans aucun doute mon étape la plus tranquille, il y avait peu de voitures et de camions: OUF!
Et en plus, Laurence qui m'a rejoint m'a offert un repas gastronomique dans un restaurant chicos qui, malgré un premier abord négatif car un peu guindé, tint toutes ses promesses ! Délicieux et surprenant.
Dans vos articles, j'adore vos images qui viennent en écho à celles, toujours émouvantes, des photographes des Tours de France d'antan.
RépondreSupprimerJuste une petite erreur: le vélodrome de Rennes existe toujours et j'en ai même fait des photos le week-end de la Pentecôte. Je vous en enverrai à mon retour.
Cordialement.
Jean-Michel
Si, si ... Le vélodrome existe et il fonctionne. Des réunions de vitesse et de poursuite y sont organisées. J'habite tout près... Le centre de formation cycliste Louison Bobet y a élu domicile pendant une quinzaine d'années ( directeur l'ancien pro Boishardy ); Mais le centre est fermé désormais mais pas le vélodrome.
RépondreSupprimerMerci d'avoir rectifié ma petite erreur ! Mais il y a eu tellement de vélodrome détruit depuis 501 ans en France que je n'ai même pas vérifié pour Rennes...
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