Jeudi 3 août 2017
Les meilleurs moments ayant une fin, il nous faut reprendre la route vers de nouvelles... aventures.
Merci encore une fois à nos amis qui nous ont si bien reçus.
Mais il avait d'abord fallu ranger la tente et les bagages.
Trois jours sans le faire et on ne sait plus où mettre tout ça...
Mais ça y est, nous allons reprendre notre voyage à travers le Limousin.
Par des routes que nous avons parcourues les jours précédents avec notre ami Pablo tout d'abord...
Et puis, nous partons vers des contrées inconnues.
Le Limousin n'usurpe pas sa réputation de région verte.
La route ondule de vallons en collines et de petites haltes de dégustation ne sont pas inutiles.
D'autres pauses nous permettent de remplir nos gourdes et d'apprécier une région fort civile.
Vers midi, nous nous arrêtons sur la place du village de Linards pour notre pique-nique.
Sur la porte de "L'atelier", une figure familière m'interpelle.
Sans le savoir, sans le vouloir, nous avons fait halte dans le village où vécut, de 1968 à sa mort en 1991, Antoine Blondin. Oui, le Blondin de "Un singe en hiver" et le Blondin du Tour de France.
J'ai trouvé cette interview que le chroniqueur donna à un journaliste de FR3 Limousin avant le départ du Tour de France 1970.
Il parle de sa nouvelle vie en Limousin, du métier de suiveur du Tour qui n'est plus ce qu'il était, d'Eddy Merckx, du jeune Luis Ocana et du vieux Raymond Poulidor.
Bien sûr, pour le reste de l'après-midi j'ai fredonné : "Rue Blondin Antoine écrivain..." la chanson de Leprest.
Il est deux
heures deux deux deux deuxC'est calamiteux teux teux teux
Si je mens, je meurs
J'ai brûlé mes tunes tunes tunes tunes
Et là-haut la lune lune lune lune
Joue les croissants beurre
Devant l'épic'rie
Un Breton ramasse
Des feuilles de cèl'ri
Et un vélo passe
Tous feux éteints
Yéyéyéyé yéyéyéyé
Rue Blondin Antoine écrivain
Yéyéyéyé yéyéyéyé
Rue Blondin Antoine écrivain
On pourra aussi déguster sans modération le billet du blog "A l'encre violette" pour continuer en compagnie de Monsieur Jadis :
Vous reprendrez bien un coup d'Antoine Blondin ?
Mais il nous faut laisser là monsieur Blondin.
Pourtant, avant de quitter Linards, Laurence a remarqué la boutique de la petite couturière.
Tout au long de l'après-midi, nous allons traverser des villages coquets et calmes.
Le vert est toujours de mise et les voitures sont bien rares.
Le nom de ce village sied à merveille à cette belle randonnée.
Par contre la montée vers le Mont Gargan nous semble un peu trop rude pour de tels moments de douceur, nous l'évitons donc.
Nous arrivons à Treignac en milieu d'après-midi et ne savons si nous devons continuer ou pas.
Pour le moment, nous choisissons de grimper au sommet de cette tour pour voir le Limousin d'en haut.
Nous nous trouvons dans la vallée de la Vézère, tout près du plateau des Millevaches que nous avons traversé l'an passé.
Mais il nous faut laisser là monsieur Blondin.
Pourtant, avant de quitter Linards, Laurence a remarqué la boutique de la petite couturière.
Tout au long de l'après-midi, nous allons traverser des villages coquets et calmes.
Le vert est toujours de mise et les voitures sont bien rares.
Le nom de ce village sied à merveille à cette belle randonnée.
Par contre la montée vers le Mont Gargan nous semble un peu trop rude pour de tels moments de douceur, nous l'évitons donc.
Nous arrivons à Treignac en milieu d'après-midi et ne savons si nous devons continuer ou pas.
Pour le moment, nous choisissons de grimper au sommet de cette tour pour voir le Limousin d'en haut.
Nous nous trouvons dans la vallée de la Vézère, tout près du plateau des Millevaches que nous avons traversé l'an passé.
Après quelques hésitations, nous choisissons de faire étape au camping du lac des Bariousses, retenue d'eau sur la rivière Vézère.
Cela nous change du camping de Migné car il y a de l'animation ici, c'est une vraie station balnéaire. Ce soir se déroule même à la piscine du camping une soirée disco !
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