Bon, d'accord, il suffit de regarder un calendrier pour le constater ! Alors, c'est juste l'occasion de dire que j'ai fait 650 kilomètres durant ce mois doux et humide.
650 kilomètres, en utilisant surtout mon vélo JPLP mais aussi, beaucoup moins, mes trois autres vélos (Sur cette photo mon vélo Chardon que je n'ai utilisé qu'une seule fois, et toujours ces petits soucis de changements de vitesses et de chaîne qui "frotte" !). Par contre, nous n'avons pas encore sorti le tandem.
Et il y a toujours aussi peu de messages sur ce blog, c'est un peu morne plaine depuis quelques mois.
J'avoue que je sors moins l'appareil photo ces derniers temps. Voilà plus de quatre ans que je mitraille toute la région avec mon petit engin de marque japonaise mais fabriqué en Chine (Bien obligé de prendre un tel objet car si je suis, bien sûr, pour la réconciliation des peuples, essayez d'acheter un appareil photo de marque française fabriqué en France...), alors il n'y a plus grand chose à se mettre sous l'objectif !
Bien sûr, il reste toujours les arbres, mes chers arbres, qui ne sont jamais pareils, je crois pouvoir les photographier encore et encore et toujours il seront différents.
Mon assiduité moindre à alimenter ce blog vient aussi des archives que je compulse, que je classe, que je lis, pour mon plus grand plaisir et que je numérise à l'occasion en vue d'une publication, plus tard, sur ce blog. Je ne suis pas retraité, moi, je ne peux quand même pas passer tout mon temps devant l'ordinateur, déjà que...
Parce qu'il y a aussi le vélo, les livres à lire, les disques à écouter, la vaisselle, les repas et puis un petit peu de... travail...
Parce qu'il y a aussi le vélo, les livres à lire, les disques à écouter, la vaisselle, les repas et puis un petit peu de... travail...
C'est surtout le temps, ce fichu temps qui passe vite, si vite. Ce temps qui manque et qu'il ne faudrait pas gâcher, perdre en choses vaines et inutiles.
J'attends que le temps vienne
Mais il s'en est allé.
C'est vraiment pas de veine.
Le temps s'est défilé.
Faut-il qu'on se souvienne
Faut-il qu'on laisse aller ?
J'attends que le temps vienne
Mais le temps a filé..."
Je ne peux m'empêcher de citer cette chanson de Pierre Louki, déjà lue sur ce blog.
Pierre Louki ! Et voici donc l'occasion de parler de ce grand monsieur de la chanson.
Je commencerai par cet autre texte qu'il chanta dans ce disque de 1991 et qui rejoint ma préoccupation précédente.
Au dos de ce disque, il y a une petite dédicace de son ami Georges Brassens :
"En même temps qu'une amitié solide et sans fioriture,je nourris pour Pierre Louki une admiration qui ne cesse de croître au fil des ans."
Je trouve ce compliment parfaitement mérité ! Ce qui n'empêcha pas Pierre Louki de rester quasiment méconnu du grand public, ce qui est d'une grande injustice (comme pour Allain LEPREST ou Henri TACHAN, deux autres très grands poètes dont j'ai parlé ici.)
Sur ce même disque, il est une autre chanson qui parle de l'amitié et de la grande complicité qui unissaient Louki et Brassens...
Cela commence ainsi :
"C'était au temps où Georges m'appelait..."
Et cela se termine ainsi :
"Sans toi c'est pas la fête
Tout juste si je m'embête
J'n'ai plus le coeur à m'emmerder."
Je vais quand même faire un effort, dès demain je m'attelle à un message sur le nouveau vélodrome de Saint Quentin en Yvelines où nous sommes rendus aujourd'hui à l'occasion de l'ouverture, et de la journée Portes ouvertes, de cette magnifique "piste cyclable" (sic)
"C'était au temps où Georges m'appelait..."
Et cela se termine ainsi :
"Sans toi c'est pas la fête
Tout juste si je m'embête
J'n'ai plus le coeur à m'emmerder."
Je vais quand même faire un effort, dès demain je m'attelle à un message sur le nouveau vélodrome de Saint Quentin en Yvelines où nous sommes rendus aujourd'hui à l'occasion de l'ouverture, et de la journée Portes ouvertes, de cette magnifique "piste cyclable" (sic)
Force est de reconnaître que jusqu'ici, de Pierre Louki, je ne connaissais que le nom!
RépondreSupprimerJe vais me renseigner un peu!
Mais si tu es à court d'idée pour alimenter ce blog, un article sur le regretté Cavanna me ferait bien plaisir.
Je l'ai découvert au travers de "le singe devient con", puis de "le con se surpasse".
J'ai pris des fous rires dans le bus à cause de ces livres!!!
J'ai beaucoup aimé le texte sur l'école... Cavanna va nous manquer....
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