Voici quelque temps que je n'étais pas venu sur ce blog. C'est vraiment vrai que les retraités sont des personnes très occupées. Entre le vélo et le... vélo, je ne sais plus où donner de la tête !
Ainsi ce samedi 21 avril, j'ai fait une longue et belle balade à vélo : "Mon 200 du mois d'avril" et même plus car ce fut un Brevet de Randonneurs Mondiaux de 400 kilomètres.
Je suis donc arrivé chez l'ami Gérald à Fontaine les Grès (Aube) à 4H30 pour prendre le départ de ce BRM. Quand il m'a annoncé que j'étais le seul participant, je n'ai pas été plus étonné que cela, pour le BRM 300 du mois de mars, nous n'étions que 6.
J'ai dans la sacoche les trois cartes IGN qui me permettront de ne pas me perdre...
J'ai également préparé mes petites fiches pour suivre l'itinéraire de ce BRM (mon GPS-Papier !).
J'ai dans la sacoche les trois cartes IGN qui me permettront de ne pas me perdre...
J'ai également préparé mes petites fiches pour suivre l'itinéraire de ce BRM (mon GPS-Papier !).
Alors, à 5H du matin, j'ai pris le départ, tout seul dans la nuit, pour une longue journée de vélo.
Bien vite le soleil se leva pour éclairer ma route et me réchauffer. Le vent soufflait faiblement et le parcours était plat sur la plaine de Champagne.
Après avoir roulé en direction du nord , je pris la direction de l'ouest à partir du village de Courgançon, près le la Fère Champenoise, pour me diriger vers la Côte d'Ile de France.
C'est à Barbonne Fayel que je devais faire tamponner ma carte de route pour le premier contrôle de ce Brevet.
Ce qui fut fait à la boulangerie du village à 7H25. J'avais un peu plus de 60 kilomètres au compteur. Le bistrot étant pour l'heure fermé, je ne m'attardai pas ici.
Je connais les lieux et sais qu'une longue côte m'attend au sortir de Barbonne. Côte qui doit me mener en Brie.
Je choisis donc de faire ma première pause après avoir franchi cet obstacle, en l'occurence au milieu de la forêt de la Traconne.
La rosée du matin mouille mes pieds mais je prends le temps de me restaurer et de me reposer un peu.
Les châteaux d'eau de Nesle la Reposte |
Puis je prends la route de Pont sur Yonne (Lieu du deuxième pointage) en passant à proximité de Provins, je suis vraiment le régional de l'étape.
Passant à proximité de Beauchery Saint Martin, je pense au LOUP ! Voici quelques jours, je découvrais que le site "Observatoire du loup" signalait la présence du loup en Seine et Marne dans un billet daté du 12 mars 2018... WAOUUUUUUUH !
Dans ma tenue rouge de l'ACP, l'animal pourrait me prendre pour... oui ! pour le petit Chaperon rouge ! Pour peu qu'il soit un peu bigleux, un peu de mauvaise foi aussi, car pour me confondre avec la petite fille... avec la Mère-grand, peut-être... et le loup a dévoré la bonne femme aussi. Alors, méfiance ?
Dans ma tenue rouge de l'ACP, l'animal pourrait me prendre pour... oui ! pour le petit Chaperon rouge ! Pour peu qu'il soit un peu bigleux, un peu de mauvaise foi aussi, car pour me confondre avec la petite fille... avec la Mère-grand, peut-être... et le loup a dévoré la bonne femme aussi. Alors, méfiance ?
En faisant des recherches pour préparer ce billet, j'ai découvert que l'information a été démentie dans le journal "La République" en date du 27 mars 2018 par l'Office national de la chasse et de la faune sauvage : Le loup a-t-il laissé son empreinte dans le Provinois ?
Les loups ne seraient donc pas près d'entrer dans Paris ?
Pas de loups, donc, sur ma route mais quelques automobilistes pressés aux environs de Provins et puis après Gouaix, le calme est revenu et je franchis la Seine à Noyen pour prendre la direction de la vallée de l'Yonne par de jolies petites routes. Et je pense (Oui, tout seul sur la route, j'ai le temps de penser...) au dernier numéro de la revue 200 que j'ai acheté quelques jours plus tôt.
"La route est belle" : ça me va bien pour cette randonnée !
De la Seine à l'Yonne elle ondule, elle tourne et vire. Je vais bon train et arrive sans peine à Pont sur Yonne après m'être arrêté une seconde fois pour revêtir une tenue estivale et manger un petit sandwich.
A 10H50, je pointe dans un bar à l'entrée de Pont, j'ai déjà parcouru près de 140 kilomètres et pour l'instant tout va bien.
Ici j'épate un client qui déguste son ballon de rosé (après la rosée du matin , le rosé de 11H00 !) qui me demande :
- Vous faites combien de kilomètres ?
- 400.
- 14... seulement ?
- Non, 400 !
- 400 ? Et vous faites combien de kilomètres par jour ?
- 400...
- Vous allez faire 400 kilomètres aujourd'hui ?
- Oui.
- 400 kilomètres... à vélo ! Et tu entends ça, patron, le monsieur il va faire 400 kilomètres à vélo... AU-JOUR-D'HUI !
Maintenant, la route est buissonnière, je prends la direction de Château Renard, près de Montargis, dans le Loiret.
Et c'est un régal de pédaler dans ces jolis paysages.
Ma moyenne reste toujours élevée, aux environs de 25 KM/H, mais je prends le temps de lever le nez du guidon pour PROFITER...
C'est ainsi que je découvre quelques vieilles Plaques MICHELIN.
Ainsi que quelques beaux villages endormis sous cette météo presque caniculaire.
Il n'y a quasiment personne sur la route, ni autos, ni vélos, ni camions.
C'est une belle journée pour un mariage.
A cet instant, la SELLE, je préfère l'avoir sous les fesses. J'ai même le temps de me raconter quelques blagues stupides comme celle-là...
J'ai pointé ma carte de route à 13H30 à Château Renard, dans un bar PMU où les rares clients sont scotchés à un écran qui diffuse une course de chevaux. Je n'y traîne pas, je n'ai pas l'impression d'y être le bienvenu.
J'ai parcouru la moitié de ma randonnée et je choisis de m'arrêter pique-niquer au bord de la rivière Aveyron, affluent du Loing qui coule dans le Loiret, à ne pas confondre avec l'autre Aveyron...
Je quitte le Loiret à regret car me voici revenu dans l'Yonne et ses routes aux revêtements nettement plus rugueux.
Mais les paysages continuent d'être fort agréables et c'est un plaisir de faire une petite pause au bord du canal de Briare.
Voilà bien longtemps que je n'avais pas admiré les 7 écluses de Rogny. Mais il ne faut pas s'attarder, le prochain contrôle est proche.
Après l'Aveyron, me voici le long du Loing en direction de Saint Fargeau. La route devient plus fréquentée par les voitures, de longues lignes droites, tout en ondulations, ralentissent ma progression et ce ...SCROGNEUGNEU... revêtement de route qui "ne rend pas" !
Le paysage est toujours aussi charmant mais la route est moins belle.
C'est un peu fatigué que j'arrive au quatrième point de contrôle de ma randonnée. Au carrefour là-bas, je dois prendre à gauche vers Joigny. Je sais qu'il y a là un café et un restaurant où me désaltérer (mes gourdes sont vides) et pointer ma carte de route. Hélas, les deux établissements sont fermés. Il me faut faire le détour par le village de Saint Sauveur.
Durant l'été 2013, nous avions réalisé un petit voyage de La Ferté Gaucher vers la Puisaye et nous avions campé dans ce village avant de visiter le chantier du château de Guédelon et le musée Colette (L'écrivaine ayant vécu ici). On peut trouver ci-dessous le lien vers le récit de ce beau voyage :
VOYAGE EN PUISAYE 2013
Mais les paysages continuent d'être fort agréables et c'est un plaisir de faire une petite pause au bord du canal de Briare.
Voilà bien longtemps que je n'avais pas admiré les 7 écluses de Rogny. Mais il ne faut pas s'attarder, le prochain contrôle est proche.
Après l'Aveyron, me voici le long du Loing en direction de Saint Fargeau. La route devient plus fréquentée par les voitures, de longues lignes droites, tout en ondulations, ralentissent ma progression et ce ...SCROGNEUGNEU... revêtement de route qui "ne rend pas" !
Le paysage est toujours aussi charmant mais la route est moins belle.
C'est un peu fatigué que j'arrive au quatrième point de contrôle de ma randonnée. Au carrefour là-bas, je dois prendre à gauche vers Joigny. Je sais qu'il y a là un café et un restaurant où me désaltérer (mes gourdes sont vides) et pointer ma carte de route. Hélas, les deux établissements sont fermés. Il me faut faire le détour par le village de Saint Sauveur.
Durant l'été 2013, nous avions réalisé un petit voyage de La Ferté Gaucher vers la Puisaye et nous avions campé dans ce village avant de visiter le chantier du château de Guédelon et le musée Colette (L'écrivaine ayant vécu ici). On peut trouver ci-dessous le lien vers le récit de ce beau voyage :
VOYAGE EN PUISAYE 2013
Mais aujourd'hui, pas le temps de faire du tourisme, ou alors si peu... Je cherche un bistrot ! Et j'en trouve un au coeur du village. Je me désaltère... il était temps, je commençais à me dessécher ! Et je reprends la route. Le coup de pédale est meilleur mais la route toujours aussi ondulée.
Je fais un rapide arrêt à la gare de Toucy d'où part le TRAIN TOURISTIQUE DE PUISAYE.
A essayer lors d'un prochain voyage ?
Mais aujourd'hui, je continue à rouler vers la vallée de l'Yonne après avoir gravi une rude bosse à la sortie de Toucy.
Enfin, j'aperçois au loin la ville de Joigny. Enfin, ça va descendre un long moment ?
Oui, pas de problème, ça devient vraiment roulant mais il me faut à nouveau refaire les niveaux, dans un cimetière bien sûr ! Qui a bu, boira... Et aujourd'hui, j'ai bu, j'ai bu !
Joigny, dernier pointage. Il est 18H50, je viens de parcourir 300 kilomètres et je suis certain de parcourir la plus grande partie de la centaine de kilomètres restants avant la nuit.
Je prends la route de Migennes pour m'arrêter au bar-restaurant où nous pointons lors du BRM 400 de l'ACP. Hélas cet établissement n'existe plus. Il me faut faire demi-tour pour valider mon passage à Joigny par le tampon de la boulangerie située près du pont sur l'Yonne. Surtout ne pas s'énerver par ce petit contretemps.
Au bord de l'eau, je dévore un flan en buvant un Coca-cola. Ce n'est pas très diététique tout ça... Après une pause de 20 minutes environ je prends la route des vallées de l'Yonne puis de l'Armançon. Je suis agréablement surpris, je m'attendais à ce qu'il y ait plus de circulation sur cette grande route qui me mène à Briennon/Armançon.
Dans ce village où nous avons campé lors de la dernière étape de notre voyage de l'été 2017, je dois prendre la direction du pays d'Othe.
Pour avoir emprunté cette route l'été dernier, j'avoue que j'appréhendais un peu cette partie du parcours. C'est pourquoi je souhaitais éviter d'avoir à la parcourir de nuit. En effet, je sais que les 40 kilomètres à venir sont une succession de montées et de descentes et je préfère voir où je mets les roues.
La montée après le village de Bellechaume est particulièrement rude, surtout quand on a plus de 300 kilomètres dans les jambes. Je la grimpe tranquillement, sans forcer, sur un petit braquet.
Tout doucement le soleil part se coucher. Il aura été un compagnon de route fort plaisant tout au long de cette belle randonnée. Les villages du pays d'Othe se succèdent : Arces-Dilo, Coulours.
Je continue ainsi jusqu'à Villeneuve l'Archevêque où la nuit m'accueille. Après quelques kilomètres sur l'ancienne Route Nationale 60 en fort mauvais état mais heureusement fort calme à cette heure, je prends à droite la direction de Marcilly le Hayer dans la nuit noire à peine éclairée d'un croissant de lune.
Dans la nuit noire, je repense au LOUP dont la présence ponctuelle a été prouvée dans l'Aube voici quelques années ( voir Infographie du journal "Le Monde" - Juin 2014).
Pourtant, dans le désert de la plaine champenoise, je n'entends pas les hurlements de Canis lupus mais le vol des oiseaux que le bruit et l'éclairage de mon vélo doivent déranger. Dans les villages, les chats partent se cacher à mon approche. Parfois une odeur d'aubépine ou de colza en fleurs m'indique que je longe un champ ou une haie fleurie. Des courants d'air chaud, puis froid, puis à nouveau chaud, viennent caresser mes bras et mes jambes et je revêts comme ce matin ma veste à manches longues.
S'il m'arrive de me tromper de chemin, je retombe toujours sur la bonne route au carrefour suivant au prix d'un petit détour parfois.
J'aime rouler de nuit quand tout est calme et apaisé. Quand il faut être vigilant pour bien mettre ses roues au bon endroit. Quand tout le monde, ou presque, est enfermé à l'intérieur et que j'ai l'impression d'être seul au monde (Durant ces 40 kilomètres de route de nuit, aucune voiture ne m'a dépassé et j'ai croisé peut-être 5 véhicules.). Quand j'aperçois au loin les lumières du prochain village à atteindre et que je sais que la fin de la randonnée approche...
A 23H25, j'arrive au terme de ce BRM. Maintenant, il me faut ranger le vélo dans la voiture, faire un brin de toilette, revêtir une tenue civile et repartir vers la Seine et Marne. A mi-parcours, vers Sézanne, je ne me sens pas bien, mon estomac est tout retourné, je suis fatigué. Il me faut m'arrêter quelques instants, me reposer, prendre l'air. Peut-être aurais-je dû rentrer à vélo ?
POST-SCRIPTUM : Je n'ai pas rendu compte ici de mon 200 du mois de mars. Pourtant, je l'ai fait le samedi 17 avril lors du BRM 200 organisé par l'ACP à Noisiel. Ce fut une randonnée éprouvante : pluie et froid furent au rendez-vous. Nous fumes pourtant plus de 130 valeureux cyclos à boucler cette traditionnelle randonnée. J'en suis donc à ce jour à mon Dodécaudax N° 8. Le petit jeu continue !
Je fais un rapide arrêt à la gare de Toucy d'où part le TRAIN TOURISTIQUE DE PUISAYE.
A essayer lors d'un prochain voyage ?
Mais aujourd'hui, je continue à rouler vers la vallée de l'Yonne après avoir gravi une rude bosse à la sortie de Toucy.
Enfin, j'aperçois au loin la ville de Joigny. Enfin, ça va descendre un long moment ?
Oui, pas de problème, ça devient vraiment roulant mais il me faut à nouveau refaire les niveaux, dans un cimetière bien sûr ! Qui a bu, boira... Et aujourd'hui, j'ai bu, j'ai bu !
Joigny, dernier pointage. Il est 18H50, je viens de parcourir 300 kilomètres et je suis certain de parcourir la plus grande partie de la centaine de kilomètres restants avant la nuit.
Je prends la route de Migennes pour m'arrêter au bar-restaurant où nous pointons lors du BRM 400 de l'ACP. Hélas cet établissement n'existe plus. Il me faut faire demi-tour pour valider mon passage à Joigny par le tampon de la boulangerie située près du pont sur l'Yonne. Surtout ne pas s'énerver par ce petit contretemps.
Au bord de l'eau, je dévore un flan en buvant un Coca-cola. Ce n'est pas très diététique tout ça... Après une pause de 20 minutes environ je prends la route des vallées de l'Yonne puis de l'Armançon. Je suis agréablement surpris, je m'attendais à ce qu'il y ait plus de circulation sur cette grande route qui me mène à Briennon/Armançon.
Dans ce village où nous avons campé lors de la dernière étape de notre voyage de l'été 2017, je dois prendre la direction du pays d'Othe.
Pour avoir emprunté cette route l'été dernier, j'avoue que j'appréhendais un peu cette partie du parcours. C'est pourquoi je souhaitais éviter d'avoir à la parcourir de nuit. En effet, je sais que les 40 kilomètres à venir sont une succession de montées et de descentes et je préfère voir où je mets les roues.
La montée après le village de Bellechaume est particulièrement rude, surtout quand on a plus de 300 kilomètres dans les jambes. Je la grimpe tranquillement, sans forcer, sur un petit braquet.
Tout doucement le soleil part se coucher. Il aura été un compagnon de route fort plaisant tout au long de cette belle randonnée. Les villages du pays d'Othe se succèdent : Arces-Dilo, Coulours.
Je continue ainsi jusqu'à Villeneuve l'Archevêque où la nuit m'accueille. Après quelques kilomètres sur l'ancienne Route Nationale 60 en fort mauvais état mais heureusement fort calme à cette heure, je prends à droite la direction de Marcilly le Hayer dans la nuit noire à peine éclairée d'un croissant de lune.
Dans la nuit noire, je repense au LOUP dont la présence ponctuelle a été prouvée dans l'Aube voici quelques années ( voir Infographie du journal "Le Monde" - Juin 2014).
Pourtant, dans le désert de la plaine champenoise, je n'entends pas les hurlements de Canis lupus mais le vol des oiseaux que le bruit et l'éclairage de mon vélo doivent déranger. Dans les villages, les chats partent se cacher à mon approche. Parfois une odeur d'aubépine ou de colza en fleurs m'indique que je longe un champ ou une haie fleurie. Des courants d'air chaud, puis froid, puis à nouveau chaud, viennent caresser mes bras et mes jambes et je revêts comme ce matin ma veste à manches longues.
S'il m'arrive de me tromper de chemin, je retombe toujours sur la bonne route au carrefour suivant au prix d'un petit détour parfois.
J'aime rouler de nuit quand tout est calme et apaisé. Quand il faut être vigilant pour bien mettre ses roues au bon endroit. Quand tout le monde, ou presque, est enfermé à l'intérieur et que j'ai l'impression d'être seul au monde (Durant ces 40 kilomètres de route de nuit, aucune voiture ne m'a dépassé et j'ai croisé peut-être 5 véhicules.). Quand j'aperçois au loin les lumières du prochain village à atteindre et que je sais que la fin de la randonnée approche...
A 23H25, j'arrive au terme de ce BRM. Maintenant, il me faut ranger le vélo dans la voiture, faire un brin de toilette, revêtir une tenue civile et repartir vers la Seine et Marne. A mi-parcours, vers Sézanne, je ne me sens pas bien, mon estomac est tout retourné, je suis fatigué. Il me faut m'arrêter quelques instants, me reposer, prendre l'air. Peut-être aurais-je dû rentrer à vélo ?
POST-SCRIPTUM : Je n'ai pas rendu compte ici de mon 200 du mois de mars. Pourtant, je l'ai fait le samedi 17 avril lors du BRM 200 organisé par l'ACP à Noisiel. Ce fut une randonnée éprouvante : pluie et froid furent au rendez-vous. Nous fumes pourtant plus de 130 valeureux cyclos à boucler cette traditionnelle randonnée. J'en suis donc à ce jour à mon Dodécaudax N° 8. Le petit jeu continue !
Quelle épopée !!! Merci beaucoup pour la balade !!!
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