dimanche 16 décembre 2012

Cent soixante-deuxième sortie 2012

Parti en début d'après-midi avec Lolo, j'ai rejoint l'ami Pascal et nous avons roulé jusqu'à la nuit. Alors ce soir, j'avais 85 kilomètres au compteur. Je ne l'ai vu qu'une fois rentré à la maison car  je suis vraiment rentré à la nuit noire ! Heureusement, j'étais équipé pour rouler dans l'obscurité : voir et être vu...
Encore 370 kilomètres pour atteindre les 12000 kilomètres avant la fin de l'année : c'est possible mais pas certain. En fait, je crois que c'est la météo qui va arbitrer ce difficile combat contre les kilomètres...

Pas de photo par ce temps gris.
Alors, je reviens quelques jours en arrière pour présenter quelques clochers photographiés le mercredi 5 décembre.



Mais avant les coqs et les clochers, j'ai déniché une plaque de cocher sur un mât (de plus en plus rare)  celui-là m'avait échappé, alors...









Le voili....le voilà !
Dans la vallée du Petit Morin, voici l'église de Saint Cyr.

Le clocher est composé d'une tour en pierre et d'un couronnement avec toit en pavillon recouvert de tuiles. Il se trouve au milieu du bâtiment.



Et le coq semble pousser son cri : "COCORICO !" ce qui se traduit en allemand par : "KIKIRIKI !" (Un de mes rares souvenirs de lointains cours d'allemand avec : "Kartofeln" (?) et "Restez groupir" mais ça, ce n'était pas en cours...).
La commune de Jouarre, surtout connue pour sa crypte mérovingienne, présente un clocher couronné d'une flèche octogonale (Ai-je bien compté ?).
La charpente comme souvent est recouverte d'ardoises : la forte pente ne permettant pas la couverture de tuile.


Le coq y est bien dodu !

A Signy-Signets (Quel drôle de nom ?) la tour est en bois...






...et le coq est fier !



Arrivé à Pierrelevée, je remarque le beau coq qui trône sur le clocher.
Le dernier clocher de cette belle journée de vélo fut celui du joli petit village d'Aulnoy.
Et nous en découvrons ici un nouveau type, le clocher à comble tronqué. Rares sur les églises, on trouve  ces couronnements plus fréquemment sur les châteaux Renaissance ou certains édifices publics comme des hôtels de ville.
Le coq quant à lui, est sans doute un modèle unique, peut-être fabriqué, voilà bien longtemps (?), par le forgeron du village.
On remarquera également le paratonnerre, peut-être vendu à cette petite commune par le mari de la voisine de Brassens qui était "représentant d'une maison de paratonnerre."